lunes, 17 de noviembre de 2008

Courage to cross the fence



I. se metía donde vivían los sin papeles, los que buscan asilo.
Ella les daba clases de animación, de revivir ellos mismos,
de vivirse como seres completos,
ella movía le energía ahí dentro.
Venía I. a Ginebra, le mostraba como era una ciudad en construcción, sin terminar. Me hablaba de un pintor ruso que causaba mucha sensación. Eran cuadros muy cafés... pero que era un oportunista. (Un cuadro era un Icono, de un Dios que habla de que todos somos iguales, que los principios deben pasar por encima de las personalidades.)

I needed to have the courage to cross the fence.
And then I could discover their capacities.
Uno de ellos era un asiático con
una capacidad extraordinaria para los ordenadores.


I. hacía una expo sobre los buscadores de asilo político.
una radio cubierta de unicel rota transmitiendo sus experiencias.
una mesa interactiva con imágenes sobre los buscadores de asilo.
Me acerco para felicitarlos pero luego me siento invadiendo su espacio.
11.07.08
I. rentrait où vivaient les sans-papiers, les requérants d’asile.
Elle leur donnait des cours d'animation, elle leur montrait comment revenir a la vie,
comment vivre en tant qu’êtres à part entière,
elle déplaçait l’énergie là-dedans.
I. venait à Genève, je lui montrais comment c’était une ville en construction, inachevée. Elle me parlait d'un peintre russe qui susciter beaucoup de polémique. Ses tableaux étaient très sombres… mais qu’il était un opportuniste. (l’un des tableaux était l’icone d'un Dieu qui dit que nous sommes tous égaux, que les principes doivent passer au-dessus des personnalités.)

J’avais besoin d’avoir le courage pour traverser la barrière.
Et pouvoir ainsi découvrir leurs capacités.
L’un de d'eux c’était un asiatique avec une capacité extraordinaire pour les ordinateurs.

I. faisait une exposition sur les requérants d’asile politique.
une radio cassée, couverte d’unicel, transmettant ses expériences.
une table interactive avec des images sur les requérants d’asile.
Je m'approche pour les féliciter mais ensuite je sens que j’envahie leur espace.
11.07.08